Star Trek 12 : J.J. Abrams parle des possibles voyages temporels et cameos

Date : 03 / 02 / 2010 à 00h20

Dans le numéro de décembre 2009 du magazine américain Wizard figure une interview exclusive du réalisateur de Star Trek, J.J. Abrams, en voici quelques extraits.

Il semblerait que le voyage dans le temps soit obligatoire dans les films Star Trek qui ont le plus de succès. Mais allez-vous éviter cela dans la suite ?
J.J. Abrams : Nous sommes actuellement en pleine discussion sur la nature de l’histoire et des idées intéressantes ont émergé. Mon instinct me dit de revenir à cette même qualité à moins que cela puisse apporter quelque chose aux personnages. Mais si une brillante idée venait à inclure les voyages dans le temps bien évidemment, je ne l’exclurai pas.

Envisagez-vous d’autres caméos d’acteurs venant d’autres séries liées à Star Trek ?
J.J.A. : Vous savez, je suis ouvert à n’importe quoi. Mais je ne vais pas m’avancer en pensant « Oh, OK, comment je vais faire pour qu’il y ait encore plus de possibilités de caméos ? ».

Mais vous n’êtes pas contre.
J.J.A. : Non, je ne suis pas opposé à cette idée, mais la bonne nouvelle c’est que le casting de ce nouveau Star Trek a cet immense fardeau pour essayer de conserver cette même interprétation que délivraient les acteurs de la série originale, et je pense qu’ils s’en sont très bien sortis. Et bien que le premier film aurait été presque impossible sans la présence de Leonard Nimoy - nous aurions du tout changer au niveau de l’histoire - j’ai envie de le faire et je ne suis pas opposé, je suis aussi ravi d’être là où nous en sommes actuellement, il n’est pas nécessaire de s’adapter pour des caméos, juste pour calmer les fans puristes. Ce qui est incroyable au sujet de Mr Nimoy, au-delà de l’homme qu’il est, est que son rôle n’était pas un caméo, il était un personnage plus qu’important dans ce film. Essayer d’inclure des caméos ne nous a jamais intéressé. Essayer de raconter une histoire crédible était ce qui nous importait le plus.

L’interview complète est disponible dans le numéro 217 de Wizard Magazine.