Question questionnante

Date : 09 / 12 / 2007 à 00h00

NuqneH !


J’ai vu hier sur la planète "Quatuor" un spectacle étonnant de virtuosité, de talent et de poésie. Quelque chose de vraiment bouleversant d’émotion et de drôlerie. Un de leurs numéros mettait en scène des musiques de différentes religions rencontrées probablement aux cours de leurs tournées dans le quadrant Alpha, leur but étant de mettre en osmose ces musiques distinctes mais en même temps complémentaires, envisageant un œcuménisme musical surprenant et - je dois le dire - convaincant.

Cela m’a fait penser aux nombreux romans, films, œuvres d’art de toutes sortes, qui nous montrent les richesses de l’amour, de la paix et de l’ouverture d’esprit. Bien sûr, je sais que vous êtes surpris d’entendre Amalb’Eyrh, le fier guerrier, prêcher la paix et l’Amour… Mais c’est qu’au cours des années de combat pour l’Empire, je me suis rendu compte que l’honneur était plus important que la bataille. Et que le plus grand honneur était de lutter pour la paix dans l’univers. Faudrait peut-être que je me soigne, mais je n’en ai pas envie…

Tous ces écrits et compositions parlent contre la violence, la haine, la quête de pouvoir, mettant en scène les valeurs de l’amitié et du pardon. Et le pire est que le public aurait plutôt tendance à aimer, puisque ces ouvrages se vendent. Certains ont même beaucoup de succès, entre autres ce Potter dont je vous parlais lors de ma dernière chronique.
Alors… Pourquoi cet univers est-il toujours autant victime de racisme, de brutalité, d’égoïsme ? Pourquoi ne mettons-nous pas en action ces sentiments que nous inspirent ces travaux littéraires, cinématographiques, holographiques ?

Je crois que je le sais. Nous avons peur. Peur du ridicule. Car tenter de faire le bien, c’est être mièvre, mélo. C’est être loufoque, tant notre société nous montre que la norme est opposée à cet état d’esprit. Mais la compétitivité, l’efficacité à tout crin, le désir de surclasser les autres ne sont-ils pas finalement une autre forme de grotesque, car tellement étrangère à nos vrais désirs ?

Alors osons ! (comme disait Elkh’Abach’ le célèbre penseur klingon). Osons le bien autour de nous. Osons faire naître des sourires sur les lèvres de nos voisins. Osons réchauffer le cœur de ceux que la souffrance a éteints. Osons l’aide aux plus pauvres, aux plus malheureux…

Serons-nous burlesques aux yeux de la société ? Qu’importe, nous ne le serons pas aux yeux de ceux à qui nous aurons redonné l’Espoir, et à nos yeux à nous…

Ouf, me lâcher comme ça m’a bien fatigué… Mon lit ! Attends-moi, j’arrive !

Et comme disait Khaless : "Ben dis-donc, l’Amalb’Eyrh, quand y se lance, on l’arrête plus…"

Qapla’


Les illustrations des articles sont Copyright © de leurs ayants droits. Tous droits réservés.



 Charte des commentaires 


On s’est fait doubler !
Patron, remets-nous ça !
Interview exclusif ébouriffant !...
Kisékilladanslkiki ?...
Douillou spiquin gliche ?...
FBI - International : Jeu des chaises musicales pour la saison (...)
Les Ombres d’Esteren : La campagne de financement de Dearg (...)
Jeux Vidéos - Bandes Annonces 28 avril 2024
Unif’ TV : Visionnez le premier épisode de la série (...)
Rebel Moon - L’Entailleuse : Ce que le film Netflix doit à (...)
The Exorcism : La bande annonce avec Russell Crowe
Star Wars - The Bad Batch : Critique 3.14 En Ligne de (...)
Kaiju No. 8 : Critique des deux premiers épisodes Crunchyroll
Transformers - Le Commencement : Les affiches personnages du film (...)
Stellar Blade : La critique du jeu sur PS5