Non, mais je cauchemarde ! (2ème partie)

Date : 24 / 06 / 2007 à 00h00

NuqneH !

Bonjour, je suis G’Narp, le psychanalyste d’Amalb’Eyrh, qui a été interné depuis quelques jours, suite à la dernière chronique publiée. Les pulsions sexuelles sus-racontées dans cette pauvre imitation de littérature maladive m’ont poussé à le faire enfermer de toute urgence avant qu’il tente de copuler avec sa douche à ultrasons ou même – Oh, Horreur – avec Christine Bravo, la terrienne tant de fois cause de guerres de bon goût entre civilisations aussi disparates que les Hortas (d’là que j’my mette), les Organiens, les Casimirus, ou les sarko-Royalistes.

Bien que devant me méfier fortement de mes rapports avec Amalb’Eyrh, (ses huit précédents thérapeutes s’étant suicidés dans des conditions particulièrement horribles, et moi-même ne me sentant pas très bien), je tente une dernière fois de parer au plus pressé.

Attaché par des liens en guimauve Atlantéenne, avec un bâillon en Glifurno-saxifrage à glomifugation safroïdique, ce pauvre malade ne peut plus rien faire. Je l’ai de plus mis sous camisole chimique à base de Plutono-neptunium à mimolette râpée.

Je sais que nombre d’entre vous trouveront particulièrement dure cette décision, mais pouvait-on ainsi laisser un tel être errer en liberté dans les méandres de la vie sociale tel un hanneton variolique à la recherche de sanisette adaptée à sa taille ?

Je réponds de toute la force de mon serment d’Hyp’Pocryte : NON !

Ainsi donc ai-je pris la seule solution qui s’imposait ! (surtout depuis que la déclaration est pré-remplie).

Je ne prévois pas de sortie avec plusieurs centaines d’années et vous annonce ainsi la fin de cette chronique. Croyez moi, c’est bien mieux pour vous. Depuis plus de deux ans, votre pauvre cervelle se délitant (et plus) à lire ces insanités, il était plus que temps que l’on mit fin à cette insulte à la Nature.
Vous pouvez aller vous recoucher en paix. Il ne vous ennuiera plus. Croyez-moi !

Et comme disait Khaless : "C’est ça ! Et vous croyez qu’ils vont résister à un olibrius (Olibrius [libRiys] n. m. 1. Dans les mystères du Moyen Âge, personnage bravache et fanfaron) pareil, les infirmiers qui le gardent ?"

Qapla’