Cinémathèque française : Cinéma bis - Science-fiction

Date : 01 / 03 / 2015 à 10h43
Sources :

Unification


Le vendredi 8 mai 2015, la soirée cinéma Bis de la Cinémathèque française (51 Rue de Bercy, 75012 Paris) est dédiée à la science-fiction.

D.A.R.Y.L. de Simon Wincer
Etats-Unis/1985/99’/VOSTF/35mm
Avec Baret Oliver, Mary Beth Hurt, Michael McKean.
Petit garçon adopté, Daryl est en fait un androïde aux facultés extraordinaires. Ses capacités exceptionnelles suscitent la convoitise...

suivi de

Le Dernier survivant (The Quiet Earth) de Geoff Murphy
Nouvelle-Zélande/1985/90’/VOSTF/35mm
Avec Bruno Lawrence, Alison Routledge.
Un scientifique constate un matin que toute vie semble avoir disparu sur Terre à la suite d’une expérience sur laquelle il travaillait.

C’est donc l’occasion de (re)découvrir sur grand écran deux films de science-fiction et de se rendre compte que cinéma bis à la Cinémathèque française ne veut pas forcément dire nanar ou navet.

Tarifs :
9€00 Plein tarif, 7€00 Tarif réduit, 5€50 avec le Forfait Atout Prix.
Entrée libre avec le Libre Pass.

- SITE OFFICIEL


Les illustrations des articles sont Copyright © de leurs ayants droits. Tous droits réservés.



 Charte des commentaires 


Reprises à Hollywood : La grève des acteurs est officiellement (...)
Reprise à Hollywood : Les affaires reprennent sur les plateaux de (...)
Grèves à Hollywood : Enfin un accord entre le syndicat et les (...)
Grèves à Hollywood : De trop grands écarts entre acteurs et (...)
Grèves à Hollywood : Fin officielle de la grève des scénaristes
Karma of Purgatory : la critique
Netflix : Les dernières annonces de casting pour les séries à (...)
À la poursuite du Château Ambulant : La critique du guide
VOD DVD - Bandes annonces : 29 avril 2024
Rebel Moon : Dans un autre univers, L’Enfant du feu aurait (...)
Star Wars - Skeleton Crew : Une jeune distribution hors du (...)
I’m The Grim Reaper : Sam Raimi prépare une série (...)
Law & Order - Organized Crime : Un renouvellement dans la (...)
Sud-Est : Une création originale Canal+ à Singapour
Jusqu’au bout du monde : La critique