Arrow : Stephen Amell passe aux aveux ! (spoilers)

Stephen Amell, nouvel interprète d’Oliver Queen, a profité de la promotion à l’aube lancement de Arrow (très réussi le 11 octobre puisque la série a rassemblé 4.02 millions de téléspectateurs, on avait pas vu un tel score depuis la diffusion du pilote de Vampire Diaries !) pour évoquer quelques éléments clés de la série ou encore les relations que le jeune milliardaire entretient avec certains personnages féminins.

Collider : Est-ce-qu’un rôle comme celui-ci vous a intimidé ou est-ce-que c’est le défi à relever qui vous a attiré ?
Stephen Amell : En tant qu’acteur, le défi à relever fait partie de ce qui m’a attiré dans ce projet. En ce qui concerne le côté intimidant du rôle, le public peut penser que ce sera la marque de fabrique de la série et il y a les personnes qui vont observer les réactions des téléspectateurs. Je ne peux pas penser à ça parce que je suis dans presque toutes les scènes. À l’heure actuelle, on me fait la peau. Je ne peux pas me permettre de penser sur le long-terme, absolument pas. J’avais la pression pour que le pilote soit commandé par la chaîne et je la ressentais de nouveau pour l’épisode 2 parce que pour moi, le pilote était incroyable.

Collider : Qu’est-ce-que ça vous a procuré de présenter Arrow à la Comic Con de San Diego et de déjà recevoir des retours de la part des fans ?
S.A. : J’étais en train de répondre à des questions pour The Hollywood Reporter où Jennifer Carpenter de Dexter disait : « Tu vas à la Comic Con et peu importe le nombre d’années où tu as travaillé pour la télévision ou le nombre de saisons que tu as faites, ça te donne de l’énergie pour les journées longues et difficiles. Au final, vous le savez, la réponse du public vous attend. »

Collider : Avec cette version différente du personnage, surtout celui que le public connait grâce à Smallville, que pouvez-vous nous dire sur cet Oliver Queen quand Arrow démarre ?
S.A. : Nous allons commencer à découvrir que, dans la première saison, que la plus grande menace pour Oliver, c’est lui-même. Il revient de l’île avec un syndrome de stress post-traumatique, étant donné ce qu’il a vu sur cette île. Le personnage est présenté comme quelqu’un de brisé. C’est quelqu’un qui est, à défaut de trouver une meilleure expression, une bombe à retardement. On va le voir faire des choses géniales, mais on va aussi le voir chuter, de temps en temps, et aussi échouer. J’espère que le public s’identifiera à lui grâce à cet élément véritablement humain.

Collider : Comment évolueront les relations entre Oliver et sa mère (Susanna Thompson) et Oliver et sa sœur (Willa Holland) ?
S.A. : Je pense que sa mère est ravie de son retour, mais les Queen ne sont pas devenus milliardaires de manière conventionnelle. Peut importe ce qu’est devenu leur royaume, le retour d’Oliver est une menace. Je pense que ça serait une erreur de dire que sa mère est mauvaise, mais c’est vrai qu’on suppose qu’elle a ses propres motivations qu’elle n’explique pas, du moins pas pour l’instant. En ce qui concerne Thea, Oliver était son idole avant son départ, mais à cette époque, c’était un imbécile de 22 ans. Elle est devenue cette personne à 17 ans, il ne peut pas revenir et lui dire comme ça « Ne sois pas comme ça ! », parce que c’est la seule chose qu’elle ait jamais connu. Dans le pilote, elle dit qu’elle se débrouille toute seule, et elle pense qu’elle s’en est bien sortie. Qui suis-je pour me permettre de lui dire « Tu ne peux pas vivre comme ça. »

Collider : Ajoutera-t-il des noms, au fur et à mesure, pour que la liste ne soit pas terminée avant la fin de la série ?
S.A. : Bien sûr ! Ça se voit tout de suite. On voit ça dans l’épisode 3. Si vous aviez une liste limitée, vous vous diriez « Oh ! Il me reste une personne à trouver ! Je ne le trouve pas ! » Notre série n’a pas de narration spécifique. Pas question de le voir rayer un nom à la fin de chaque épisode, mais je pense que la liste est assez longue.

Arrow est diffusée tous les mercredis sur la CW.

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