Enterprise : Jolene Blalock à la Chakotay Academy

Date : 11 / 03 / 2005 à 00h00

Le site Internet du journal Toronto Star a publié une interview de Jolene Blalock, la star de Star Trek Enterprise, dans laquelle elle critique l’épisode final de la série, These Are The Voyages. En voici quelques extraits.

C’est vraiment triste, dit Blalock a propos de l’annulation de la série. Je pense que la plupart d’entre nous sommes encore dans la négation des faits. Mais, je peux déjà vous dire que les prochains jours vont être remplis d’émotions.

Jolene se demande ensuite comment une série qui s’ouvre avec 13 millions de personnes peut en quatre ans en perdre 11. “La saison 4 est une bénédiction, une joie à tourner”, dit elle. “Cela a été une sacrée surprise de recevoir des scénarios de cette qualité. Grâce à ça, cela a été à nouveau une joie de revenir travailler. C’était mieux que de louper encore une saison à faire ce que l’on faisait avant. Ca en dit beaucoup sur le potentiel qu’avait la série”.

Quand le journal la questionne sur l’épisode final de la série, elle répond après un silence embarrassé : “Je ne sais pas par où commencer avec ça. L’épisode final est ... effroyable”. (est ce que Jolene a pris des cours de critiques avec Robert Beltran ? Chakotay dans Star Trek Voyager, il est très connu en convention pour balancer à tout va sur la série. Les spectateurs de Constellation 2 peuvent en témoigner).

Jolene se sent désolé pour les fans et souligne les efforts pour sauver le show. “Je suis vraiment touché par le dévouement des fans et leur passion pour la série. Je ne savais pas que leur résolution était si forte. Mais, vous savez, les fans ne disent vraiment rien de nouveau. Ils le disent juste plus fort”.

A propos de son futur chômage, elle révèle qu’elle revient juste d’une audition et qu’elle est très impatiente à ce propos. “J’adore auditionner, tous les processus, rencontrer des gens du métier. Cela fait quatre ans que je n’ai pas fait ça, et cela me manque. C’est un monde fait d’inconnus et de possibilités infinies. Et j’adore ça !”