The Expanse : Review 6.01 Strange Dogs

Date : 10 / 12 / 2021 à 14h30
Sources :

Unification


Pour qui a suivi avec passion et/ou fascination The Expanse – sans aucun doute la meilleure série de (Hard-)SF de ces dix dernières années –, aborder sa dernière saison est un glas aussi douloureux que poignant.
Pire, la cinquième saison avait placé la barre qualitative tellement haut qu’il est permis d’être très inquiet à la perspective que l’ultime saison prétende conclure la geste narrative en seulement six épisodes lorsque la source littéraire comprend encore cinq ouvrages (dont un dernier – Memory’s Legion – à paraître en 2022).
Il faut au minimum s’attendre à ce que la tradition bien établie d’une saison pour un livre soit désormais rompue, en espérant cependant que la série ne bascule pas dans la précipitation d’un épisode par livre...

Pour mémoire, au nombre des hypothèses qui furent envisagées à l’annonce de l’interruption prématurée de la série :
- Amazon attendrait la fin de la diffusion de la sixième saison (donc début 2022) pour annoncer le renouvellement The Expanse pour une septième année (une façon de faire monter la mayonnaise et de créer le buzz), auquel cas la série pourrait conserver le même rythme d’adaptation.
- La série s’achèverait bien à la fin de la sixième saison, et celle-ci se contenterait d’adapter Babylon’s Ashes (au prix de quelques gros tweaks à la fin), les studios (comme peut-être les auteurs) ne souhaitant pas exposer la série à la rupture paradigmatique des tomes suivants (qui auraient impliqué un bond en avant de trente ans, avec pour conséquences un vieillissement des personnages et une redistribution des rôles dans le main cast).
- Cette dernière saison conduirait à un spin-off (qui serait déjà dans les cartons chez Amazon) déployé autour du Laconian Empire au bénéfice d’une palette de nouveaux personnages. Ou alors plusieurs téléfilms se chargeraient de relater les tomes 7 à 10 sous un autre format comme l’a suggéré un jour Naren Shankar, moyennant un possible financement par d’autres Majors voire en crowdfunding (sachant que les droits sont détenus par Alcon et non Amazon).
- La saison 6 serait vraiment la toute dernière, mais diverses astuces narratives pourraient être trouvées pour compresser à un rythme naturel (et non de façon forcée) – quitte à recourir à diverses ellipses – les lignes de forces des cinq ouvrages suivants.
Certes, il parait bien difficile d’en faire tenir autant – sans y sacrifier les nuances – en seulement une demi-douzaine d’opus. L’ombre traumatique de la huitième saison de Game Of Thrones hante encore les mémoires, mais Naren Shankar n’est pas David Benioff et DB Weiss. D’autant plus que l’implication directe des romanciers Tyler Corey Franck et Daniel Abraham – qui ont sorti leur neuvième tome en parallèle de la diffusion de la sixième saison de la série – n’exclurait pas un "scénario de couplage" à la façon d’Arthur C Clarke et Stanley Kubrick en 1968 sur 2001 : A Space Odyssey.
Imaginons un scénario alternatif aux romans... Inaros pourrait être vaincu en une paire d’épisodes. Puis l’amiral Winston Duarte reviendrait (par la suite) en conquérant – fort de la supériorité technologique que pourrait lui conférer la protomolécule et le(s) vaisseau(x) alien(s) découvert(s) en orbite de Laconia. Mais en définitive, les cartes géostratégiques seraient profondément rebattues avec l’entrée en scène des entités "rouges" alias Unknown Aggressors, entraperçus dans les dernières secondes de The Expanse 05x10 Nemesis Games, et ayant anéanti il y a des éons les Ring Builders tout comme probablement le vaisseau Barkeith de Sauveterre. Or à supposer que les ennemis d’hier cessent d’être ceux de demain, de grand adversaire idéologique, Duarte pourrait se métamorphoser en protecteur de l’humanité ! Ainsi, Sparte sauverait Athènes...
Mais n’anticipons pas...

Alors, contre toute attente, The Expanse 06x01 Strange Dogs ne se démarque pas fondamentalement du style des épisodes de la cinquième saison. L’épisode en prolonge même le paradigme étouffant et l’ambiance crépusculaire à la façon d’un épilogue systémique... où le choc d’une attaque planétaire a progressivement glissé dans le quotidien d’une guerre éternelle à la Joe Haldeman.

Les retrouvailles de l’équipage du Rocinante, avec en contrepoint le trépas brutal d’Alex Kamal, avaient constitué un bref état de grâce au terme de l’épisode précédent. Mais dans un univers réaliste qui ne gravite aucunement autour des personnages, la grande Histoire ne s’infléchit pas pour autant. Et c’est ainsi que le début de cette sixième saison aura eu recours à des ellipses de plusieurs mois (possiblement d’un an) au travers d’images d’actualité plus apocalyptiques les unes que les autres...
Ainsi, forte de toute la force de frappe héritée de la trahison d’une partie de la MCRN et du "partenariat" secret avec l’amiral Duarte, non seulement la Free Navy des Belters réussit à tenir en respect les forces des Inners (i.e. terriennes et martiennes alliées), mais Marco Inaros a même intensifié le bombardement de la Terre au moyen d’astéroïdes furtifs dans le cadre d’une extermination qui ne dit pas son nom.
Certes, au moment où débute le récit, l’UN (Nations Unies de la Terre) est parvenue à améliorer ses protocoles de détections et de destructions préventives, si bien que cela fait maintenant plusieurs mois que le berceau de l’humanité réussit à échapper aux impacts majeurs. Mais la Terre en a tellement encaissé depuis la fin de la cinquième saison que son écosystème est à l’agonie, comme sujet à un hiver nucléaire global, perdant progressivement toutes ses capacités de productions agricoles, outre les morts qui se comptent par millions. Les épurateurs atmosphériques de CO2 défaillent et les contaminants météorologiques se multiplient... De plus, les impacts évités se paient au prix fort comme autant de victoires à la Pyrrhus, moyennant des vaisseaux terriens détruits ou tombant dans les mains de la Free Navy...

La sergente Roberta Draper est dorénavant au service personnel (telle une garde du corps améliorée) de la secrétaire générale de l’UN, Chrisjen Avasarala, navigant entre le siège du gouvernement en exil sur la Lune, une Terre désormais ravagée (par exemple la ferme céréalière à haut rendement en zone agricole méditerranéenne recouverte de neige), et ses propres souvenirs révolus d’une planète surpeuplée mais opulente.
Avec son équipage constitué de Jim Holden, Naomi Nagata, Amos Burton, Clarissa Mao, le Rocinante est activement engagé dans la lutte contre la flotte des Belters... pour diverses missions tactiques de reconnaissance. Mais l’ombre de feu Alex Kamal se fait paradoxalement de plus en plus pesante, tandis que Naomi vit de plus en plus mal de devoir sans cesse attaquer et massacrer ses compatriotes belters...
Drummer – dont la tête a été mise à prix par la Free Navy – tente de survivre avec ses ultimes fidèles aux chasseurs de primes qui infestent les territoires conquis par Inaros. Ainsi, le Jottunn leur est tombé dessus durant une opération de récupération sur les débris du Donnager (un cuirassé de la MCRN). Mais faute d’avoir réussi à faire détonner un missile (à la suite d’une erreur de Michio), Camina a dû détruire son propre vaisseau, le Dewalt (tout un symbole), pour que sa faction réussisse à fuir sur le Tynan (le navire OPAS de feu Klaes Ashford). Les "pirates vertueux" de ce qui reste de la Drummer pirate Fleet se muent imperceptiblement en guerriers, mais sans en avoir encore les épaules, c’est-à-dire sans forcément en accepter le coût et les implications...
Aussi dispersés qu’ils soient à travers le vaste système solaire, ces protagonistes ont en partage le poids d’une agonie civilisationnelle. Prisonniers d’un tunnel de ténèbres sans fin, la désespérance, le désenchantement, et l’épuisement se portent littéralement sur leurs visages et dans le moindre de leurs actes, au point de mettre à l’épreuve (et progressivement compromettre) la solidité de leurs liens mutuels d’amitié et/ou de famille. Sans pour autant recourir à un maniérisme dark and gritty (trop souvent paupérisant), c’est bien toute la détresse de Battlestar Galactica 2003 qui est mine de rien convoquée ici. Et comme dans la saison précédente, avec une immense subtilité dépourvue de tout pathos ou mélo, donc davantage en résonance avec les tragédies antiques qu’avec les teen soaps, l’histoire personnelle des protagonistes raconte fractalement la grande Histoire.

Il en est presque de même du côté de Filip qui somatise un malaise croissant à l’endroit de son père Marco dont il découvre progressivement l’inanité, assorti d’un dégoût envers lui-même face à l’énoncé des exploits criminels (ou héroïques selon la perspective) auquel il se voit publiquement associé. Par son passage mémorable sur le Pella puis ses exploits de désespoir sur le Chetzemoka, Naomi a visiblement laissé une empreinte profonde quoique inconsciente sur son fils. Mais le bénéfice reste encore incertain, car Filip endure une évolution imprévisible et très politiquement incorrecte : obsessions sexuelles sordides, copulation de désespoir dans le caniveau, irascibilité violente et incontinente, réification de tous les autres selon son bon vouloir... Avec pour climax l’assassinat gratuit de son meilleur ami Yoan qui n’avait pourtant que de l’admiration pour lui ! Soit une mise à mort par procuration de toute estime de Filip pour sa propre personne, tout en évitant l’écueil narratif de la rédemption hollywoodienne (si clichée et démagogique).
On devine malgré tout que, d’une façon ou d’une autre, quand bien même sans gloire ni honneur, le fils jouera un rôle dans la chute du père... Un futur Brutus ?

Alors certes, le changement de comportement de Filip peut sembler brutal par rapport à la fin de la cinquième saison, mais cela n’est pas imputable à un manque de finesses dans l’interprétation de Jasai Chase Owens mais bien au parti pris elliptique et in media res de l’épisode. Plusieurs mois à un an se sont écoulés off screen en in-universe, et un temps trempé dans la suie aura fait son cruel office. Les personnages ne sont désormais plus tout à fait ceux qu’ils étaient lorsque les spectateurs les avaient quittés, et certains en ressortent abimés voire brisés :
- Filip est plongé dans un mal-être inconscient, asocial voire psychopathe qui ne s’embarrasse d’aucun dilemme rationnel, il pourrait être considéré comme une allégorie vivante du peuple belter dévoyé par Inaros ;
- Nagata ne dissimule plus son rejet quasi-haineux de Peaches, transformée en bouc émissaire exutoire (non pour ses crimes terroristes durant la troisième saison mais parce qu’elle ose symboliquement remplacer feu Alex) ;
- la bisexuelle Drummer a développé une relation intime avec son nouveau XO qui s’est substitué à son ex-ankawala Oksana ; et tandis que Michio avait eu la force de neutraliser la "commissaire politique" Karal (lorsque Camina se laissait déborder), elle est désormais considérée comme incompétente au feu et donc indésirable, en passe d’être débarquée...
Dans cet esprit, il serait permis de regretter que l’équipage du Rocinante n’ait pas gagné quatre membres de plus comme le laisser espérer la fin de la cinquième saison, à savoir Erich (parti vers d’autres horizons mafieux), Monica Stuart (redevenue l’arrogante journaliste qu’elle fut à l’origine), Bobbie (au service secret de la secrétaire générale de l’UN mais demeurant toujours un renfort ponctuel), et surtout Bull (successeur naturel de Kamal mais disparu sans explication dans la sixième saison). Seulement là encore, le réalisme postule que les événements ne s’alignent pas forcément sur les desiderata du fan-service...

Depuis que The Expanse 05x10 Nemesis Games a révélé qu’Inaros n’était que le pion (ou l’idiot utile) de l’amiral Winston Duarte, son "prestige" de puppet master en a pris un coup dans l’aile (le marionnettiste étant une réalité une marionnette). Sans l’appui de la MCRN et de leurs technologies de pointe, jamais il ne serait devenu une menace globale pour le système solaire. Il a beau vouloir faire de Cérès sa capitale (administrée par Nico Sanjrani) et toujours savoir haranguer les foules tel un bonimenteur de pointe (ou de foire), il commence à révéler l’étendue de sa médiocrité au quotidien, bien davantage préoccupé par la contemplation autosatisfaite de sa propre personne et par les bénéfices matériels à court terme qu’il tire de son leadership usurpé... que par le bien-être durable (voire par la simple survie) de son peuple et de ses disciples.
Somme toute, Marco apparaît encore moins concerné par le sort des Belters que les Inners étaient généralement accusés de l’être. Quelle ironie ! Et cette inclination est exacerbée par l’influence délétère de la plantureuse Rosenfeld Guoliang, se comportant telle une intrigante de cour. Nihil novi sub sole.
Litmus révélateur d’une complète impéritie stratégique : le "Bosmang des bosmangs" n’est pas même capable de compenser en culture hydroponique extra-terrienne les ressources agraires qu’il s’emploie pourtant suicidairement à détruire sur Terre. Autant dire que son règne est désormais compté...
Toujours à la limite de la caricature depuis la quatrième saison (mais pas si irréaliste chez les despotes du monde réel à l’instar d’Ivan IV Vassiliévitch le Terrible ou d’Idi Amin Dada), Inaros est ainsi condamné à rejoindre cette interminable liste de révolutionnaires génocidaires, moitié-mégalo moitié-escrocs, aussi psychopathes qu’inconséquents, et qui auront fait couler des fleuves de sang mais sans pour autant changer le monde ni la nature humaine...

Sur le Roci, Jim et Naomi découvriront les secrets stratégiques de "l’industrie" des astéroïdes-bombardiers d’Inaros. Équipés de réacteurs (récupérés sur tous les vaisseaux volés), ils sont activés puis propulsés en recevant une impulsion unique depuis un vaisseau d’observation sis au voisinage de la Terre, l’Azure Dragon. Une triangulation permettra de le localiser, et la mission (auquel sera consacré l’épisode suivant au titre transparent The Expanse 06x02 Azure Dragon) consistera à le détruire avec le probable renfort opérationnel de Bobbie (envoyée sur place par la secrétaire générale Chrisjen toujours assidument en contact avec Holden).

En parallèle, Jim et Amos capteront indirectement l’enregistrement de la probable destruction du vaisseau Barkeith survenue durant le transit annulaire au travers du Space Ring de Laconia. Un événement que tous deux ne manqueront pas de relier avec angoisse à l’artefact d’Ilus IV ayant plongé dans le néant les créateurs de la protomolécule (et du réseau de portails spatiaux)...
Quant au teaser de l’épisode, tranchant radicalement par son décalage inattendu avec le style pesant de la série, il plonge contre toute attente le spectateur dans la très poétique flore et faune endogène ("vigne ressort", "oiseaux soleil", "sauteurs de roches"...) de la planète Laconia. Visiblement en parfaite communion avec cet environnement hautement exotique, Cara, une petite fille délurée de l’expédition Duarte, y rencontrera un curieux alien à la tête aplatie et sans nez... qu’elle assimilera avec une dérision bienveillante (et truculente) à un "chien" indigène (d’où le titre de ce premier épisode).
Autant d’éléments incidents qui suggèrent qu’en dépit de son timing serré, la sixième saison compte pleinement assumer les nombreux champs sémantiques annoncés et lancés par The Expanse 05x10 Nemesis Games...

Conclusion

Peut-être le plus saisissant dans The Expanse 06x01 Strange Dogs est sa capacité à capitaliser sur la puissance évocatrice de la longue errance de la cinquième saison pour considérablement accélérer le temps polynomial – mais pas le temps réel – de la narration sans y perdre une once de viscéralité organique !
D’aucuns avaient reproché aux jeux de Némésis d’être trop lents. Mais c’est aujourd’hui que l’on peut en mesurer tout le bénéficie. En s’accordant le temps de faire vivre son univers pour mieux en saisir la respiration de Brahmā, ce "slow burn" si Hard SF gagne ici toute sa légitimité et sa signifiance causale. La narration n’a désormais plus besoin de planter et de s’enraciner pour relater et conter. Les graines furent généreusement semées durant les dix opus antérieurs, il ne reste donc plus qu’à (re)cueillir les (nombreux) fruits. Soit la marque même d’un worldbuilding très maîtrisé sur la durée pour engendrer une émergence (i.e. un Tout supérieur à la somme des parties).

Au même titre que chacune des saisons précédentes de The Expanse, la sixième est bien partie pour être exempte de tous les défauts rédhibitoires qui plombent les SF "concurrentes" : ni incohérences/inconséquences/invraisemblances/illogismes flagrants, ni facilités voyantes, ni mélodrames grandiloquents, ni guimauve "diabétogène", ni cuistrerie de fausse profondeur, ni utilitarisme transpositionnel, ni doxa "contemporain-o-centrée", ni wokisme militant (et donc anachronique), ni glissement dans la fantasy, ni submersion dans l’action stérile, ni racolage par le spectacle tape-à-l’œil...
En revanche, le rythme réussit le tour de force transdimensionnel d’être à la fois lent et intense, la forme ciselée (photographie, direction artistique, mise en scène, montage...) est toujours chirurgicalement au service du fond, et les effets spéciaux sont à nouveau proprement vertigineux (e.g. la plongée dans les tréfonds de la station souterraine de Cérès avec une avalanche de détails techniques brouillant tous les repères est un grand moment de home-cinema UHD...).
Mais à l’exemple des combats spatiaux qui prennent littéralement aux tripes par leur réalisme sans concession (une sensation de "présence réelle" sur un grand écran de vidéoprojecteur), le visuel se contente d’illustrer ou d’éclairer l’histoire sans jamais s’y substituer. En d’autres termes, aussi opulente qu’elle soit, la forme ne tente jamais de se faire passer pour un fond, même 2.0. Fait si rare aujourd’hui.
Il en résulte une densité diégétique sans commune mesure, la série s’érigeant en fenêtre ouverte sur le futur... mais presque par effraction, en caméra cachée, toujours brute de décoffrage et sans complaisance aucune. L’effet produit relève d’une expérience d’immersion pour ne pas dire d’incarnation tellement complète et implacable qu’elle en devient difficile à décrire pour qui n’en a pas fait intimement l’expérience. Inutile de préciser qu’en comparaison, les productions "rivales" font vraiment pâle figure... lorsqu’elles ne cessent purement et simplement d’exister !

Subsiste malgré tout une incertitude : quel sera le "scope" véritable de cette dernière saison de The Expanse ?
Car autant circonvenir Marco Inaros (avec à la clef une extension civilisationnelle constructive) pourra se faire au rythme le plus naturel au gré des cinq épisodes à venir.
Mais autant s’ouvrir véritablement à Laconia (alias Ring #673 Planet 2), à l’amiral Duarte, et/ou aux redoutables entités ("Unknown Aggressors") nimbés de rouge, cela pourrait sembler une mission presque impossible en si peu de temps d’écran.
Et pourtant, pourtant, sans vraiment spoiler, la suite de la sixième saison de la série de Naren Shankar devrait réserver quelques puissantes surprises en terme de largeur de spectre...

Bref, conformément à ses habitudes, The Expanse récolte à nouveau la note maximale haut la main ! Bien rares sont les œuvres (actuelles surtout) qui peuvent en dire autant...

NOTE DE L’ÉPISODE

YR

ÉPISODE

- Episode : 6.01
- Titres : Strange Dogs
- Date de première diffusion : 10 décembre 2021 (Prime Video)
- Réalisateur : Breck Eisner
- Scénariste : Naren Shankar

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