La Belle et la Bête : La rencontre avec l’équipe du film dont Emma Watson

Date : 20 / 03 / 2017 à 11h40
Sources :

Unification


Pour la sortie du film La Belle et la Bête, l’actrice Emma Watson, les acteurs Dan Stevens, Luke Evans, Josh Gad et Alexis Loizon, le compositeur Alan Menken et le réalisateur Bill Condon ont donné une conférence de presse.

Je tiens à remercier vivement Disney d’avoir permis à Unification d’assister à cette passionnante conférence de presse que vous pouvez voir sur le site Facebook de Disney.

Voici la retranscription des échanges qui ont eu lieu ci-dessous.

Qu’est-ce qui rend La Belle et la Bête hors du temps et qu’est-ce qui vous a motivé pour ce projet ?

Josh Gad : J’ai vu pour la première fois le film à l’âge de 10 ans et à l’époque, c’était complètement inhabituel qu’il y ait au milieu du film ce genre de transformation. C’était quelque chose qu’on n’avait jamais vu. Et ces chansons qu’on avait l’habitude d’entendre dans un dessin animé Disney m’ont toujours accompagné.

Là, aujourd’hui, j’ai deux petites filles et elles venaient me voir sur le plateau pendant qu’on tournait et elles étaient complètement époustouflées. Elles avaient les yeux qui brillaient et pouvoir partager cette expérience avec elles, savoir que pour elles, ce sera cette version qui sera la définitive, c’est un grand honneur et je pense que nous le ressentons tous comme cela.

Emma Watson : Moi aussi, j’ai regardé ce film des milliers de fois quand j’étais petite et quand mes parents me proposaient de voir autre chose, je refusais, car je voulais voir encore La Belle et la Bête. C’est pour moi un film à part, car il se trouve que je suis née en France. J’y ai vécu jusqu’à l’âge de 5 ans et c’est seulement après que je suis rentrée en Angleterre. Quand je suis rentrée en Angleterre, j’ai emporté ce film avec moi comme lien avec la France.

Belle était vraiment pour moi une héroïne. C’était une fille très intrépide, très audacieuse qui avait une grande indépendance d’esprit. C’est vraiment ce que j’admirais beaucoup. Et cette musique, elle est très belle, elle vous transporte complètement. Elle vous fait voyager. Elle est extrêmement romantique. Et à chaque fois que j’entends ces chansons, je replonge dans ce que je ressentais quand j’étais une enfant et que je me demandais si un jour, moi aussi, je tomberais amoureuse.

Pour moi, c’est aussi une grande joie de participer à ce projet.

Qu’est-ce que cela fait de revisiter toutes ces chansons que vous avez déjà écrites ?

Alan Menken : Quand on me l’a proposé, je me suis demandé ce qu’on pouvait faire de plus ? Qu’est-ce qu’il y a à ajouter à ce qui existe déjà ? Et c’est seulement quand Bill en temps que réalisateur a été proposé, que nous avons réellement discuté du vif du sujet, et là, je me suis rendu compte que ce serait très intéressant d’apporter plus de consistance et plus de contexte aux éléments et aux chansons du film.

J’observe l’évolution de ce film au long de toutes ces années. C’est très difficile de ne pas lever le nez du guidon et de continuer à travailler, mais je vis comme une bénédiction d’avoir participé à ce film.

Comment avez-vous constitué le casting ? On voit d’ailleurs qu’Alexis est français.

Bill Condon : Quand on a commençait à faire le casting, cela à pris un mois. À peu près tous les talents du West End à Londres ont commencé à venir et à nous raconter leurs propres histoires. À nous dire quelle était leur profession dans ce village. Et quand je suis venu ici pour la préparation du film et que j’ai vu La Belle et la Bête au théâtre Mogador, j’ai rencontré Alexis. Il y a peu de Français dans la production, mais pour moi son travail était tellement extraordinaire, qu’il devait faire partie du casting.

Qu’est-ce que cela vous a fait qu’on vous propose de participer à ce projet ?

Alexis Loizon : J’étais très intimidé, car c’est la première fois qu’on me proposait de faire parti d’une telle production. Et puis, à ce stade-là, le casting avait déjà été annoncé et je savais que j’allais me retrouver sur un plateau de tournage avec tous ces gens-là que j’ai toujours admiré.

Du coup, la pression était énorme. Mais c’est la magie de ce métier. À partir du moment où on a commencé à travailler, tout c’est fait naturellement, avec beaucoup de joie et d’enthousiasme. Donc cela a été un réel bonheur.

Et est-ce que vous avez aidé Ewan McGregor avec son accent français ?

Alexis Loizon : Non, je ne l’ai pas aidé. Mais je me souviens d’une séance un matin, il a fallu apprendre à quelques personnes à prononcer un bonjour qui ressemblait à un vrai bonjour français, car le film commence par une série de « bonjour ».

Quel était le défi principal pour vous dans le fait de reconstruire ce grand classique ?

Dan Stevens : Un grand défi pour nous deux, ensemble, était de se retrouver jeté dans ce spectacle extraordinaire, et dans la scène avec ces pas de danse difficiles à faire. Il se trouvait que j’étais sur des échasses et arriver à nous tenir les mains, c’était en soi un exploit. Le fait que nous devions reposer notre interprétation sur l’autre, c’est vraiment une méthode que nous recommandons pour tous.

Emma Watson : Il y a quelque chose de très intime dans la danse. Cette étroitesse de leur relation était quelques chose qui apparaît et on ne peut pas tricher, on le vit pleinement. Donc on est vraiment devenu des associés dans le fait de vouloir faire de cette danse un moment parfait. C’est vraiment un moment qui est exemplaire. Il faut qu’on raconte l’histoire, ainsi que la façon dont l’histoire d’amour s’est développée entre eux et c’est la danse en elle-même qui devait incarner cette approche très timide et progressive.

Dan Stevens : C’est Belle qui rappelle à la Bête à quel point il aime la danse. C’est quelque chose qu’il a oublié, qui est enfouit en lui. Et en quelque sorte, il se redécouvre lui-même, ainsi que les possibilités qu’il a.

Emma Watson : Il n’a pas cassé les orteils de sa partenaire. C’est une femme qui en l’occurrence devrait être effrayée, car là, c’est lui qui est effrayant. Il est extrêmement volumineux, il est très grand et lourd. C’était vraiment une bête. Et c’est Belle qui devait l’entraîner.

Mais c’était extraordinaire. On tenait à ce que ce soit un moment absolument parfait pour le public.

Est-ce qu’il y a eu une scène plus difficile à tourner ?

Bill Condon : En terme de réalisation, c’est la fête, parce qu’Emma était toute seule. Elle était dans la scène avec des objets qui n’existaient pas et qui ont été rajoutés par la suite. Il nous a fallu plus d’un mois de tournage, 6 semaines de préparation, et après 18 mois de postproduction.

Pour 3 minutes et demi de film, c’était un travail colossal.

Emma Watson : C’est extrêmement technique. Parce que c’est très particulier. Tout vient après coup et là, on doit imaginer un chandelier qui est là et qui est en train de faire un grand écart. Et moi, il faut que je l’imagine, que je fasse la scène et que cela paraisse tout à fait naturel et spontané.

C’est cela ce qui est extraordinaire avec ce que Bill a réussi à faire. C’est un film en images réelles. C’est une comédie musicale. C’est un film d’effets spéciaux. Donc en un film, il y a tous les défis de tous les genres qui sont condensés. Mais on y est arrivé et on est là, et cela, c’est extraordinaire.

Josh Gad : Moi j’adorais cette séquence, parce que pendant que vous la tourniez, moi, je me promenais en Italie.

Vous avez utilisé la motion capture pour la Bête, Est-ce que c’était difficile de jouer avec ?

Dan Stevens : On m’aspergeait le visage de peinture, on me mettait plein de petits capteurs et après on jouait la scène pour les mimiques du visage et c’était des mouvements de marionnettes pour le corps. Heureusement, Emma n’était pas du tout impressionnée par la technologie.

Est-ce que c’était difficile d’interagir avec un partenaire pareil ?

Emma Watson : Pour moi, c’était un rêve puisque quand vous faites une scène comme cela, avec des effets numériques, vous avez au mieux une balle de tennis devant vous. Alors que là, c’était du grand luxe. J’avais Dan en face de moi et je pouvais vraiment m’accorder avec lui. Et cela, ça faisait toute la différence. Donc je suis heureuse qu’on ait pu travailler de cette façon-là. Parce que quand vous le voyez sur écran, la Bête est vraiment humaine. Elle a toute la subtilité, toutes les nuances faciales de Dan et c’est quelque chose d’inédit au cinéma.

Bill Condon : Nous avions construit la Bête avant le film. Emma savait déjà avec qui elle allait jouer. Donc, c’était déjà ancré dans le réel avant le tournage. Et c’est cela aussi qui faisait un peu peur avant de commencer à entrer dans le film, le héros romantique qui était le cœur du film était un personnage en images de synthèse.

D’habitude, ce sont des points et ensuite les animateurs les remplissent. Là, toutes les expressions du visage de Dan étaient là. Je dois vraiment rendre hommage à l’acteur, car la technologie est devenue un plaisir pour lui. Il voulait vraiment jouer cette interprétation remarquable.

Il était en train de jouer les mimiques en imaginant qu’est-ce qu’allait être la scène de la danse.

Vous avez une carrière au théâtre, quelles étaient les astuces que vous pouviez donner à vos camarades pour leurs rôles ?

Luke Evans : Gaston est un méchant de Disney, c’est un personnage très théâtral, assez irréel. Il a un son ego plus gros que cette pièce. Et il est toujours en train de se payer la tête de son pauvre acolyte qui est Lefou. Donc la dimension théâtrale était déjà dans le personnage et il fallait simplement en faire beaucoup. C’est la première fois au cinéma où je peux en faire des tonnes et je m’en suis donné à cœur joie.

Comment était l’ambiance sur le tournage ?

Emma Watson : Je pense qu’on était tous tellement enthousiastes par le projet, que c’était une joie. La camaraderie devenait spontanément, car on se soutenait tous.

Luke Evans : Quand on est arrivé au village, on s’y promenait. Cela a été construit dans les studios de Londres. Et les images que l’on avait vues dans le dessin animé avaient pris vie. On voyait les pavés, les champs de légumes, les poules.

Emma Watson : Dan et moi, on restait à la fin de nos scènes, ce qui ne se passe pas sur tous les plateaux, rien que pour le bonheur de voir Josh et Luke chanter. On faisait partie du public. On était tous très appliqués et présents les uns pour les autres.

Josh Gad : La première fois qu’on a fait une lecture commune, en général, c’est une lecture assise. C’est un moment très technique. C’est la première fois que l’on passe le texte en revue tous ensemble. Et on c’est dit, « c’est dingue, ce qu’on est en train de faire ! ».

Je me souviens qu’Emma s’est levée et elle a dit La Belle et la Bête et on avait tous la chair de poule. On était tous très emballés, car on a grandi avec cette pièce.

On savait que Bill allait nous emmener dans une aventure sans précédent
Je vois la recréation de mon enfance qui était fantasmé et qui aujourd’hui existe, notamment la scène du bal. Nous, quand nous étions petits, on voyait cette scène sur grand écran, et c’est dedans que Belle et la Bête allaient tomber amoureux.

Comment avez-vous fait pour apporter une nouvelle fraîcheur aux personnages et à l’histoire ?

Emma Watson : Pour moi, j’étais très fascinée par l’idée de mieux comprendre le personnage de Belle, notamment son passé. Qui était sa mère, quelle enfant elle était. J’étais aussi très avide de ces moments d’intimité entre Belle et la Bête. Quels sont les instants précis où ils sont tombés amoureux.

Et avec Dan, on a vraiment eu l’occasion de travailler ensemble sur du texte qui a été écrit pour ces réparties. Ils sont vifs d’esprit tous les deux et j’adorais voir comment l’étincelle allait naitre, savoir que tous les deux sont des amoureux des livres, connaître la dynamique de leur relation de départ, de leur amitié.

De plus, il y a le fait que Belle et la Bête sont finalement deux versions de la même personne. Leur histoire d’amour, c’est comment ne faire plus qu’un. Et c’est le parcours de ce combat qui est raconté dans l’histoire, comment ne faire plus qu’un.

Belle était à l’époque un personnage féministe. Est-ce que c’était important qu’elle porte des bottes ?

Emma Watson : Oui, c’était très important pour moi. Je voulais que ce soit un personnage intègre, authentique, crédible. Qu’on la voit comme une vraie femme dans un monde réel. C’est comme cela que la fantaisie fonctionne. À part la dimension magique, tout le reste est entièrement réaliste.

Pour que la magie puisse fonctionner, on ne doit pas avoir de doute sur la crédibilité du reste. Si elle fait du cheval, elle ne peut pas le faire en ballerine. Si elle fait des inventions avec son père, il faut qu’elle ait des outils qu’elle puisse porter sur son costume.

Pour moi, c’était très important qu’elle soit la plus humaine possible et surtout d’accéder à ces détails qui la rendent plus moderne. Et j’espère que ce sera une voix qui porte pour les jeunes femmes d’aujourd’hui. J’espère que les jeunes femmes de 2017 pourront s’identifier à elle, comme c’était le cas en 1991 quand le dessin animé est sorti et qu’elle a été considérée comme la première princesse Disney féministe.

Comment s’est passé le fait d’apporter de la fraîcheur à la musique 25 ans après ?

Alan Menken : Quand on écrit une comédie musicale en tant que compositeur, on a l’impression d’être un architecte, de construire une maison dans laquelle des personnages vont habiter. Ce n’est pas à moi de leur dire comment y habiter, mais je crée un espace qu’ils peuvent investir.

J’ai eu trois fois l’occasion de construire cette maison. Une fois, pour le film d’animation, ensuite pour la comédie musicale à Broadway et cette fois, pour un film en images réelles.

Je sais que la charpente est très solide, donc maintenant, c’est du détail, de la dentelle. Quelles pièces peut-on encore y ajouter ?

On a ajouté 3 chansons qui apportent plus de contexte émotionnel. Par exemple, un moment ou Maurice, le père inventeur de Belle, invente des boîtes à musique et ces dernières accompagnent le développement du film. Il chante une chanson qui par la suite est reprise par Belle.

Et puis, il y a aussi cette berceuse qui est chantée par tous les personnages qui vont aller se coucher et qui repensent à leur passé, et Belle aussi se souvient de son passé.

Et je pense que l’une des plus grandes contributions au film, est d’avoir une nouvelle chanson pour la Bête. C’est le moment où il libère Belle. Il monte dans la tour et la regarde partir. C’est l’instant où il découvre son amour pour elle.

Ce qui est très émouvant, c’est que je vois toujours La Belle et la Bête tel que je l’ai toujours connu, mais en fait, l’œuvre est en train de grandir et de s’épanouir de façon très naturelle. Et moi, je suis très heureux d’avoir accompagné cette évolution et cette croissance.

Je crois que c’est Bill qui a eu une vision de cet épanouissement et je suis très heureux d’avoir été à ses côtés.

Quel est votre relation avec le film de Cocteau ?

Bill Condon : C’est un de mes films préférés, La Belle et la Bête de Cocteau. Je l’ai vu avant d’avoir vu le dessin animé. Je pense qu’il n’y a pas de comparaison possible. C’est un film qui existe en soi et c’est un très grand film.

Il m’a inspiré dans les décors, sa poésie, sa délicatesse. Et aussi, la figure de la Bête. Le portrait très sensible de ce monstre torturé est quelque chose qui continue de me toucher très profondément.

Dan Stevens : La Bête, dans le film de Cocteau, c’est quelque chose qui nous a aidés. Nous avons essayé de nous inspirer des deux films, tout en créant notre propre personnage.

Pouvez-vous décrire les émotions que vous avez ressentis lorsque vous avez vu pour la première fois la version finale du film ?

Dan Stevens : Je me voyais jouer le personnage dans son costume. La première fois que je l’ai vu, j’étais très étonné de me rendre compte que c’était quand même moi.

Il y a eu 18 mois de postproduction, et à chaque fois que je voyais le film, j’y découvrais 50, 60 % de la Bête. Cela a été le travail d’un grand nombre de personnes.

Luke Evans : Comme Dan, j’ai vu le film dans les toutes premières phases, et encore une fois, il y a quatre mois. Quand je l’ai vu à Londres, à chaque fois, c’était un peu plus avancé dans le travail des effets spéciaux. Mais même dans la première version inachevée, on voyait Emma en haut de la montagne, et j’étais comme un gamin. Et j’étais porté par cette musique.

Je pense que je n’ai pas encore vu la vraie version finale, mais c’est un vrai voyage magique.

Josh Gad : Voir la combinaison de l’assemblage des choses sur lesquelles on a travaillé. Voir ces icônes de notre imagination prendre vie, je crois que c’est l’un des moments les plus émouvants. Je crois que visuellement, Bill a fait l’un des plus beaux films qui existe.

Il y a quelque chose d’extrêmement profond. Cela fait un an et demi et chaque jour, peu importe ce sur quoi je travaille, où mon occupation de la journée, les gens ne me parlent que de La Belle et la Bête et ils me disent « dit donc, tu es dans La Belle et la Bête ».

On voit comment les gens réagissent aux images, à la bande annonce. Les gens ont besoin d’un film comme cela à notre époque si cynique. C’est un film qui ne traite que de l’amour, de la magie. Et nous avons besoin de ressentir cette joie qu’on avait connue en 91 et qu’on avait oubliée depuis. C’est prendre la magie du dessin animé et essayer de rendre les personnages plus nuancés, de donner plus de consistances aux chansons, de donner plus de détails aux décors, et de faire que les personnages soient plus palpables et vrais.

Emma Watson : Il y a plus de deux ans, quand on se voyait avec Bill et Josh, on se disait que le film était absolument contemporain. Et j’ai l’impression de lire dans la presse tous les jours, des faits qui se rapportent à cette histoire. Donc ce n’est pas seulement un conte de fées qui s’adresse aux enfants, mais une œuvre extrêmement riche, forte et qui colle à notre époque.

Est-ce que le fait que le personnage soit féministe vous a poussé à choisir ce rôle ?

Emma Watson : Oui, car elle correspond à l’enfance de beaucoup de spectateurs dans le monde. Je me souviens que dans mon enfance, je la prenais comme modèle. Cela ne peut pas être pris à la légère, car c’est très important d’avoir des symboles et des modèles.

Dans le cas de Belle, il faut que sa nature résonne avec les femmes d’aujourd’hui, mais pas seulement, cela peut aussi être un modèle pour les garçons.

Elle correspond au meilleur de ce que nous avons en nous, de ce qu’on peut être, de notre capacité de compassion pour les autres, de notre intégrité. C’est un archétype sacré. J’espère qu’en ne me voyant sur l’écran, on ne me voit pas, mais on se voit soi-même.

Elle est tout le monde, elle peut être n’importe qui. Si j’ai bien travaillé, c’est le résultat que l’on doit voir. C’est un symbole, un archétype.

La Belle et la Bête est un film magnifique qui est une excellente adaptation du dessin animé, tout en proposant aux différents personnages des personnalités plus détaillées grâce à de nouvelles scènes ajoutées. Vous pouvez en retrouver la critique ICI.

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