Prix SNCF du polar 2015 : les finalistes

Date : 14 / 10 / 2014 à 08h30
Sources :

SITE OFFICIEL


« PARCE QU’UN BON VOYAGE EN TRAIN S’ACCOMPAGNE SOUVENT D’UN BON POLAR...
...SNCF mène l’enquête depuis 15 ans partout en France pour offrir à tous la crème du crime.

Déjà 15 ans de complicité avec vous ! Grâce à vos votes, et à votre engagement, de nombreux noms du polar ont été révélés : Franck Thilliez, Mo Hayder, Gilda Piersanti, Gilles Legardinier, Jérémie Guez ou encore Ian Manook !

Catégories Roman, Bande Dessinée ou Court-Métrage, c’est aujourd’hui un Prix très complet qui ne cesse de séduire de nouveaux amateurs de suspense. Plus de 25.000 votes ont ainsi été recueillis lors de l’édition 2014.

Les sélections sont préparées par des comités d’Experts composés de spécialistes du polar mais le sort des œuvres en compétition est placé entre les mains du plus intransigeant des jurys : VOUS ! »

SÉLECTION ROMAN

« Cette année, SNCF se met le polar dans la poche avec une sélection annuelle de cinq romans noirs petits formats ! Notre comité d’Experts a choisi pour vous la crème du roman policier.

Au programme de cette édition anniversaire : des secrets de famille, une disparition d’enfant, une infiltration à hauts risques, des crimes politiques, une enquête entre passé et présent… La sélection 2015 vous fera voir toutes les couleurs du Noir ! »

Enfants de poussière de Craig Johnson, traducteur : Sophie Aslanides, éditeur : Gallmeister (États-Unis).
Absaroka, dans le Wyoming, est le comté le moins peuplé de l’État le moins peuplé d’Amérique. Y découvrir le corps d’une jeune asiatique étranglée est plus que déconcertant. Le coupable paraît tout désigné quand on trouve, à proximité, un colosse indien frappé de mutisme en possession du sac à main de la jeune femme. Mais le shérif Walt Longmire n’est pas du genre à boucler son enquête à la va-vite. D’autant que le sac de la victime contient une vieille photo de Walt prise quarante ans plus tôt, et qui le renvoie à ses souvenirs de la guerre du Vietnam.

Anesthésie générale de Jerry Stahl, traducteur : Alexis G. Nolent, éditeur : Rivages/Noir (États-Unis).
Envoyé à San Quentin pour y animer des ateliers de réflexion sur l’addiction avec les prisonniers, Manny Rupert doit en fait gagner la confiance d’un vieux détenu allemand qui se vante d’être le docteur Mengele, « l’Ange de la Mort », responsable des programmes nazis de vivisection sur les déportés.
Comment peut-on en arriver à se vanter d’un passé pareil ? Et comment un tel monstre aurait-il pu berner si longtemps son monde ? Très compromise dès le départ, la mission de Manny prend vite une tournure carrément apocalyptique.

Les péché de nos pères de Lewis Shiner, traducteur : Fabrice Pointeau, éditeur : Pocket (États-Unis).
Lorsque Michael Cooper arrive à Durham pour accompagner son père mourant, il ne connaît presque rien de la ville. C’est pourtant là que se trouve le berceau de sa famille, là qu’il est né. Et c’est là qu’il va découvrir une information troublante sur sa naissance. Et celle-ci n’est qu’un des nombreux secrets familiaux, qui tous semblent liés à la destruction du quartier noir de la ville haut lieu de la culture afro-américaine, à la fin des sixties, ainsi qu’à un meurtre jamais élucidé.
L’assassinat d’un homme, la mort d’un quartier, la disparition d’une culture, Michael va devoir faire toute la lumière sur ces événements s’il veut lever le voile qui recouvre son identité.

Emergency 911 de Ryan David Jahn, traducteur : Simon Baril, éditeur : Babel Noir (États-Unis).
A Bulls Mouth, Texas, quand on fait le 911, on tombe directement sur le Bureau du shérif. Collé derrière le central, son adjoint Ian passe ses journées à jouer aux cartes sur l’écran de son ordinateur tout en répondant aux rares appels d’urgence. Il faut dire qu’il n’a plus du flic que l’uniforme. Il y a sept ans, sa fille Maggie a été kidnappée, et l’enquête n’a jamais rien donné. Depuis, Ian s’est mis à boire, sa femme l’a quitté et le shérif lui a retiré son arme de service.
Ce jour-là, il lui reste une heure à tirer quand il reçoit un coup de fil un peu spécial. « Je vous en prie, aidez-moi ! » La voix a changé, mais c’est bien sa petite fille qui l’appelle au secours avant que la communication ne s’interrompe brutalement. Ian n’a que très peu d’informations, mais il ne laissera pas Maggie disparaître une seconde fois. Alors il prend son Sig Sauer, grimpe dans sa Mustang 1965 et part à sa recherche.
Du Texas à la Californie, il enfile l’Interstate 10 à tombeau ouvert sur la trace du monstre qui lui a volé sa vie.

Une terre si froide d’Adrian McKinty, traductrice : Florence Vuarnesson, éditeur : Le Livre de Poche (Irlande du Nord).
1981, Irlande du Nord. Bobby Sands vient de mourir. Le pays est sous haute tension, Belfast à feu et à sang. A Carrickfergus, deux homosexuels sont tués, main gauche arrachée. La piste d’un serial killer semble évidente.
Mais le sergent Sean Duffy sait que les apparences sont souvent trompeuses, lui qui incarne un paradoxe en Ulster : il est flic et catholique.


SÉLECTION BANDE DESSINEE

« Notre comité d’Experts a traqué tout au long de l’année les parutions de BD pour vous concocter une sélection éclectique.
Suivez une adolescente en cavale, un savant maléfique, une femme enceinte débrouillarde, des étudiants glandeurs ou un enquêteur loufoque.
Et offrez-vous une plongée dans la diversité des styles graphiques. »

Docteur Radar - Tueur de savants , scénariste : Noël Simsolo, dessinateur : Frédéric Bézian, éditeur : Glénat (France).
Paris, gare de l’Est, 1920. Gontran Saint-Clair, savant reconnu, est retrouvé mort empoisonné au curare dans un train de la ligne Paris-Berlin. Ce meurtre survient peu après le décès suspect de deux autres savants : Aristide Vernon et Bruno Vaillant. Plus tard, c’est le professeur Émile Lenoir qui succombe d’une piqûre de scorpion, en plein Paris… Or ces savants avaient un point commun : ils travaillaient tous sur la conquête spatiale ! Ferdinand Straub, ancien as de l’aviation française reconverti en détective, mène l’enquête et découvre que le responsable de ces crimes serait un certain docteur Radar, un mystérieux et dangereux individu passé maître dans l’art du déguisement.
Entre le talent de son adversaire et l’incompétence de la police parisienne, Straub va devoir redoubler d’ingéniosité et de vigilance pour capturer le redoutable docteur Radar…

L’Astragale , scénariste : Anne-Caroline Pandolfo, dessinateur : Terkel Risbjerg, éditeur : Sarbacane (France).
L’héroïne de ce roman graphique, Anne, 19 ans, se brise un petit os de la cheville joliment nommé astragale, en sautant le mur de la prison où elle est incarcérée pour braquage. Anne court toujours, se planque, se prostitue, qu’importe, elle a rencontré Julien, petit voyou qu’elle aime éperdument.
À l’arrestation de Julien, Anne se prostitue, mettant de l’argent de côté pour vivre, un jour peut-être, heureuse, avec lui…

Une affaire de caractère , auteur : François Ayroles, éditeur : Delcourt (France).
Les signes ne trompent pas : Bibelosse, cité d’écrivains, d’imprimeurs et de typographes, est victime d’un tueur en série. La police enquête. Mais entre les cruciverbistes qui mêlent les lettres, le quatuor infernal qui consomme les voyelles et le vendeur ambulant qui puise chaque phrase dans ses ouvrages, l’inspecteur à fort à faire avec les villageois dont les caractères sont plus difficiles à cerner les uns que les autres…

Rouge karma , scénariste : Eddy Simon, dessinateur : Pierre-Henry Gomont, éditeur : Sarbacane (France).
Adélaïde, une jeune française enceinte de huit mois, débarque à Calcutta. Elle veut retrouver Mathieu, le père de son futur enfant, qui ne donne plus signe de vie depuis plusieurs semaines. Dès son arrivée à l’aéroport, elle va être “prise en charg”e par Imran Suresh, tout jeune chauffeur de taxi sympathique et débrouillard.
Malgré une volonté sans faille, Adélaïde arrivera-t-elle à démêler le vrai du faux dans une Inde aux mille visages, et à déjouer les plans du sinistre Sanjay Dut, officier de police puissant qui règne en maître sur les bas-fonds de la mégapole indienne ?

Quatre couleurs , auteur : Blaise Guinin, éditeur : Vraoum (France)
Changer de vie comme on change de couleurs.
Grégoire et Pierre sont deux amis étudiants qui, le temps d’un cours, échangent leur identité pour améliorer leurs moyennes dans les matières qu’ils ne maîtrisent pas. En échangeant leurs cours, ils y rencontrent quatre femmes, sous le signe des quatre couleurs du bic du même nom.
Noir pour Chloé de Jais, l’ex du cynique Grégoire, qu’il a traumatisé sans même sans rendre compte, Vert comme les lunettes de sa troublante enseignante, Rouge comme la chevelure de Mathilde dont Pierre tombe amoureux et qu’il séduit sous l’identité de son ami et Bleu comme cette brune mystérieuse que ne cesse de croiser Grégoire.
Chloé, toujours amoureuse, une romance qui commence sous le sceau du mensonge, un accident et l’histoire sans conséquence va alors prendre un tour beaucoup moins anodin... La chronique au bic d’un échange d’identité qui tourne mal.


SÉLECTION COURT METRAGE

« Chaque année, le comité d’Experts arpente, sans relâche, les nombreux festivals de films courts pour vous proposer le meilleur des créations originales.
Hold-up et huis-clos humoristiques, car-jacking inattendu, face-à-face poignant ou recette de cuisine originale, découvrez les 6 films en compétition pour le titre de Lauréat du Prix SNCF du Polar 2015 ! »

Death by Omelette de Greg Emetaz, maison de production : MINORapocalypse et Polyamorous Productions (États-Unis - France), durée : 8 minutes.
Une femme s’interroge sur la fidélité de son mari. Elle fait alors appel à tous ses talents culinaires pour lui offrir un dîner à la hauteur de ses soupçons.

Carjack , réalisateur : Jeremiah Jones, maison de production : 100 TO 1 Productions (États-Unis) durée : 18 minutes.
Charlie excelle dans le car-jacking mais lorsqu’il vole une voiture et se rend compte qu’un enfant terrifié se trouve à l’intérieur, ce n’est que le début de ses surprises…

Vos violences , réalisateur : Antoine Raimbault, maison de production : 24 25 Films (France), durée : 18 minutes.
Un avocat et sa fille sont victimes d’agression. Lors de l’identification d’un suspect, qui, du père en douleur et avide de vérité ou de l’avocat cramponné à ses valeurs, triomphera ?

Safe , réalisateur : Moon Byoung-Gon, maison de production : VZ Pictures (Corée du Sud), durée : 14 minutes.
Une jeune étudiante qui travaille dans un cercle de jeux clandestins se met en tête de détourner l’argent de la loterie. L’escroquerie est découverte par un parieur, fou de rage.

À court ,réalisateur : Nadav Shlomo Giladi, maison de production : Michael Rosen & Céline Dahan (Israël), durée : 19 minutes.
Eli décide de reprendre sa vie en main. Sa meilleure idée pour cela : braquer une banque, mais pas n’importe laquelle, celle de son ex-femme ! Forcément, les ennuis continuent.

Locked up , réalisateur : Bugsy Riverbank Steel, maison de production : Joshua Smith (Royaume-Uni), durée : 8 minutes.
Trois voleurs se retrouvent coincés dans la voiture qui devait assurer leur fuite. Le braquage perpétré en famille se transforme alors en règlement de compte familial.


Il ne reste plus qu’à voter pour son roman, BD et court métrage préféré !

Vous pouvez en retrouver le palmarès de l’édition 2014 ICI.

- SITE OFFICIEL


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