Les Immortels : Henry Cavill n’a que des choses positives à dire

La sortie des Immortels sur nos écrans mercredi a été l’occasion pour Henry Cavill d’échanger quelques mots avec les équipes de Collider.
Morceaux choisis :

J’ai parlé avec les producteurs des Immortels. Ils m’ont dit que votre façon de faire partie du projet était intéressante. Basiquement, on vous a dit que vous alliez le faire, mais la date de début du tournage n’a cessé d’être reportée et donc vous vous êtes entraînés tout ce temps.

Cavill : Eh bien, je ne m’entrainais pas tout le temps. J’ai été casté, je pense que c’était en 2008 et nous étions censés commencer le tournage en 2009. Il a été repoussé du printemps au milieu de l’été, ce qui était impossible parce que j’étais dans Les Tudors ; puis repoussé pour après Les Tudors. J’ai commencé à m’entraîner juste avant de finir la série puis le film a été repoussé à nouveau et j’ai pensé : "Eh bien, je m’entraine donc je vais continuer à avancer." Et c’est environ six mois plus tard que nous avons commencé à tourner.

Comment pensez-vous que cet entrainement supplémentaire vous a aidé pour le rôle ?

Cavill : Je pense que cela aide énormément, car le type d’entrainement que je faisais, la formation que Roger Yuan, le gars qui a été mon entraineur, m’avait fait suivre était initialement basique, un entraînement physique de type esthétique. Puis il m’a appris les rudiments des arts martiaux, de la boxe, du combat au couteau et tout ça, que du cardio-vasculaire, mais amusant et basé sur les arts martiaux. Alors, pour que je puisse appliquer l’apprentissage à ma chorégraphie d’épée quand est venu le moment de vraiment commencer à l’apprendre alors que nous avions là un mois d’avance, avant le début du tournage. Cela m’a vraiment aidé, ça m’a aidé énormément.

Quelle a été votre réaction quand vous avez vu le film terminé pour la première fois ?

Cavill : Ça m’a complètement bluffé. Les effets visuels sont encore meilleurs que ce que j’avais imaginé. Quand nous tournions, Tarsem (ndlr : Singh) avait son écran et nous voyions les choses que nous tournions. S’il y avait un fond vert, il nous montrait les esquisses ou des maquettes réduites. S’il n’y avait pas d’écran vert, vous avez une idée de ce à quoi cela va ressembler. C’était magnifique à ce stade. Cela ressemblait vraiment à de la peinture. Et puis de tout voir avec la correction des couleurs et la façon dont tout a été peaufiné et la maîtrise réelle de ce que Tarsem a ajouté, ça m’a vraiment, vraiment bluffé. C’est un superbe film, renversant.

Comment était-ce de combattre Mickey Rourke et de travailler avec lui ?

Cavill : Fantastique ! Nous avions tous les deux des cascadeurs pour tourner les choses très très délicates. Mais c’était génial. Il a été boxeur et il s’y connait donc en balance, mouvement, ce genre de choses. Ce combat a été magnifiquement monté. Et l’expérience de tourner avec quelque comme ça est fantastique.

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